Historique | M. Sohier, louvetier pour l'arrondissement de Nontron, avait d'abord formé sa meute avec des saintongeois purs ; puis il croisa ses chiens avec des gascons et des ariégeois (d'origine Aldebert). Les territoires étant montagneux, les chiens étaient petits, mais très rapides et bien gorgés : c'étaient des chiens aimant le loup et sachant prendre du lièvre, faute de sanglier.
En 1903, après démonte momentanée, il prenaient 25 à 30 lièvres l'an, et quelques renards et sangliers en fin de saison. |