Vautrait de Bourras

Au début M. Brunier chassa avec une meute de chiens divers. En 1854, il racheta l’équipage de M. de Longhuit. Son fils reprit très peu de temps l’équipage car son père fut ruiné. Ce fut un valet de limier hors pair, demandé par de nombreux équipages qu’il suivait en faisant son métier de courtier en vins, l’annuaire des chemins de fer dans la poche pour joindre les lieux de rendez-vous. Il montait des chevaux « rogneux » les seuls pour lui à supporter une chasse de vautrait. Son courage physique était légendaire. Adolphe chassa à l’Equipage Chambray en Normandie et de 1872 à 1875 il maintient l’équipage de son père en chassant près d’Alençon dans l’Orne. Les derniers chiens furent repris par le vicomte d’Anchald.